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mardi 24 janvier 2017

"Je suis pessimiste et je veux être plus optimiste"


Reconnaître que vous êtes pessimiste est déjà un grand pas dans la bonne direction!

Vous savez sûrement du penser à un moment de votre vie, dans le passé, dans une situation donnée qu'il valait mieux être pessimiste et que cela vous protègerait de bien des déceptions.

"S'attendre au pire plutôt que d'espérer et d'attendre le meilleur" voilà une belle croyance limitante

Si en lisant ça vous repérer LA situation dans le passé où être pessimiste vous protégeait de quelque chose ou de quelqu'un, vous tenez peut être l'expérience source de la croyance?

Inverser la tendance? Par un exercice simple... 

Chaque soir, faites la restrospective de votre journée: 
- A quel moment j'ai été pessimiste?
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Et se poser ensuite la question: "Et si j'avais été optimiste à ce moment là, que me serait-il arrivé de désagréable?"
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Ce processus vous permettra, A LA LONGUE (pas en une fois), de découvrir la peur qui se cache derrière la croyance. 

Une fois que vous aurez découvert la peur (de souffrir, de manquer...) vous déciderez alors si cette peur peut être dépassée et vous permettre de changer votre système de croyance ou si elle est trop intense et que vous préférez rester dans ce schéma pour vous protéger. 

Sachez qu'il est normal de ne pas être prêt au changement lorsque les peurs sont trop vives. Accepter son raisonnement  et s'autoriser à avoir peur est un pas énorme vers le changement. 

Repérer une croyance limitante et la peur qui est derrière est un progrès énorme, en ayant fait cela, vous avez déjà changé, faites-vous confiance, le meilleur est à venir :) 

#Optimiste_incurable

Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com (stratégie, coaching, formation en communication) & Zhaïra Bennani-Coach Well'Com

jeudi 19 janvier 2017

Gérer un changement non souhaité !


Qu'est ce qui est bien? Qu'est qui est mal?

Une rupture? Un licenciement? C'est bien ou c'est mal? 

Ni l'un, ni l'autre... c'est une question de timing et de perception.

Chaque changement nous fait peur,  à cause de la variable "inconnue" qu'il engendre, non pas parce qu'il peut être bon ou mauvais mais plutôt parce que derrière ce changement existe une peur: 

- de souffrir
- de mourir
- de manquer
- ...

Et derrière chaque peur se cache un besoin: 

- D'amour
- De sécurité
- De confiance
- De liberté 
-... 

Et ce qui alimentent cette peur et nous éloigne de la satisfaction de notre besoin, c'est notre mental qui nous racontent des histoires qui nous font encore plus peur: "Et si tu ne retrouvais pas de travail?" et "Si tu ne retrouvais jamais un conjoint? ""Tu vas finir seule?" "Dans le besoin?"...

Ces suppositions ne sont que des projections imaginaires, une réaction que nous avons face aux faits, qui est totalement négative et qui ne nous avance en rien car on ne sait si elles se produiront un jour.

Pourtant, il vous ait sûrement arrivé dans la vie, à vous ou à l'un de vos proches, qu'un évènement qui semblait "tragique" soit le début d'une belle histoire, d'un changement positif, d'une opportunité inratable.

Vous êtes face à un changement que vous n'avez pas souhaité? Que faire? 

- Soit laisser votre studio de cinéma hollywoodien (ego) vous raconter les pires scénarios et vous faire peur, en vous cachant votre besoin réel

- Soit accepter la situation telle qu'elle est et y trouver le côté positif! Si, si, il existe... regardez-bien, il est juste là, sous votre nez!

Une fois que vous acceptez le changement, que vous vous ouvrez aux opportunités qu'il vous offre, vous dites OUI... à la vie tout simplement, en la laissant faire ce qu'elle a à faire! Faites lui confiance :)

Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com (stratégie, coaching, formation en communication) & Zhaïra Bennani-Coach Well'Com



mercredi 11 janvier 2017

#Lifehack… Techniques pour réduire le stress


1-S’organiser en prévoyant des temps de pause réguliers
2- Accepter ce qu’on ne peut pas changer
3- Inutile de dire « Oui » à tout
4-Utiliser le stress comme un catalyseur de motivation
5- Créer une « safe zone », en endroit, une activité où est au calme
6- Prendre le temps de s’observer, de s’apprécier, de se complimenter
7-Bien choisir notre entourage
8- Garder le sens de l’humour
Sur ce, le stress est une tension qui provoque une émotion négative. En changeant nos pensées, nous pouvons influencer notre état émotionnel. Faire un petit exercice de respiration et une visualisation de la tâche ou de la journée terminée avec succès peut être un petit coup de pouce efficace. Parfois, revoir son planning en l’allégeant permet de faire moins et en même temps mieux :) Très bonne journée !
Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com (stratégie, coaching, formation en communication) & Zhaïra Bennani-Coach Well'Com

mardi 10 janvier 2017

Pardonner ou ignorer, qu'est ce qui est le plus simple?


Si nous choisissons d'ignorer, c'est notre égo qui choisit l'orgueil car il souffre ! Il décide donc que c'est impardonnable et que nous n'allons plus avoir de contact avec cette personne ou si peu. 

Pourtant, nous le savons bien, lorsque nous laissons notre égo décider pour nous, nous l'autorisons à nous faire souffrir. S'isoler dans l'indifférence peut nous faire énormément souffrir surtout si nous aimons ou apprécions sincèrement la personne. 

Elle m'a blessé(e) la première me direz-vous. Oui, effectivement. Et quelle était son intention?... En êtes-vous sûre? Ne préférez-vous pas en avoir le coeur net? 

Ignorer la personne ne règle rien et l'indifférence attise le ressentiment. 

D'autant plus que l'indifférence est factice dès lors que cette personne réactive notre souffrance à chaque fois que nous la voyions ou que nous entendons parler d'elle ou encore qu'une autre personne à le même comportement vis à vis de nous.

Il suffit d'aller à la demande d'informations, en faisant part à l'autre de notre tristesse ou colère et de lui accorder son droit d'expression. Ecoutons... 

Les émotions que nous vivons ne sont pas la responsabilité de l'autre, mais bien la nôtre. Pensez-y! 

Maintenant que nous avons entendons l'intention, les motivations, les explications de l'autre, nous sommes libres de :

- Pardonner en libérant notre coeur de cette émotion négative en laissant la place à de nouvelles émotions plus positives
- De garder cette personne auprès de nous ou de garder nos distances
- Réfléchir à nos propres blessures et à nos comportements

Sur ce, merci d'avoir lu ce post, un petit commentaire ou une question si vous souhaitez que je réponde me fera très plaisir :)

Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com (stratégie, coaching, formation en communication) & Zhaïra Bennani-Coach Well'Com

#Lifehack… Être un TEAM LEADER EFFICACE



1-Fixer des objectifs réalisables à son équipe
2- Donner la direction et motiver à avancer
3- Donner le même pouvoir et les mêmes droits à chaque membre de l’équipe
4- Être très clair dans sa communication
5- Gratifier en public
6- Emettre des feed backs en privé
7-Une victoire est celle de l’équipe entière
8- Être un modèle et donner l’exemple
Sur ce, Imaginons le meilleur team leader qu’on aurait pu avoir, dans son attitude, ses comportements, ces mots… et modélisons sur lui… Rien de plus simple!
Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
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lundi 9 janvier 2017

Quel est le rapport entre la peur et l'amour de soi?


Le challenge de chacun d'entre nous est de s'accepter tel qu'il est, et à un niveau plus élevé, s'aimer, se donner le droit d'être ce que nous sommes tout en appréciant les valeurs qui nous animent, notre corps...

Ce que nous sommes est en perpétuel évolution, notre apparence, nos valeurs, nos besoins, nos compétences changent avec le temps.  A 20 ans, une de nos valeurs les plus importantes est la liberté, et plus tard à la 30 aine, nous faisons un point d'honneur à trouver la stabilité en ayant un travail stable, fondant une famille, tout en souhaitant garder notre liberté compte tenu de nos responsabilités. La liberté passe à un niveau moins intense. 

Il arrive un moment où la situation ne nous convient pas vraiment, par exemple dans le cas d'une recherche d'emploi, infructueuse, on se juge, on se critique, on tente de contrôler, maîtriser la situation, on développe des croyances telles que "La vie est trop difficile", "Le bonheur n'est pas pour moi", "Je n'ai pas de chance",... Cette peur de l'incertitude, du changement, de la difficulté, de la souffrance, nous empêche d'être nous-mêmes, de croire en nous et en nos compétences. Elle complique notre relation à nous et entache l'amour de soi et l'acceptation de soi.

Pour "casser" ces croyances, il est important de les identifier: 
- Observer ce qui entrave l'atteinte de nos objectifs et écouter ce que  l'on se dit intérieurement: 

* L'amour, c'est ....
* La vie, c'est ...
* Les femmes, c'est ....
* L'argent, c'est ...
* La réussite, c'est ....

Repérer les croyances qui nous limitent

- Ecouter sa voix intérieure et ce qu'elle nous dit de nous: 
* Tu fais ....
* Tu es...
* Tu dis ...

Lorsque les sentences repérez sont négatives, elles sont une réelle entrave à notre estime de soi, notre confiance en soi et notre motivation. Lorsqu'elles sont négatives, elles proviennent nécessairement de peurs, qui se cachent derrière. Pour détecter les peurs et les croyances, un accompagnement par un coach ou un thérapeute peut être utile pour développer un schéma de pensées plus sain, des croyances sur soi et sur la vie plus aidantes, plus motivantes afin que celles-ci influence notre équilibre émotionnel et ainsi notre comportement.

Un schéma de pensée orienté solution, favorisant l'acceptation et l'amour de soi est le meilleur moyen d'entrer en zone de plein potentiel et d'accélérer les chances de réussite

Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com (stratégie, coaching, formation en communication) & Zhaïra Bennani-Coach Well'Com

#Lifehack…Influencer positivement les autres


1-Ecouter et encourager l’autre à parler
2- motiver à parler de ce qui les intéresse
3-Donner le sentiment que la personne est importante
4- Sourire
5- Faire de l’empathie
6- Eviter les conflits et disputes
7-Rester amical même lorsqu’on subit une pression
8- S’exprimer sans cesse conformément à nos valeurs
Sur ce, l’influence dans le sens d’inspirer, motiver, sécuriser… ça fait du bien. Je vous souhaite d’avoir autour de vous beaucoup de personnes qui vous influencent positivement.
Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
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Comment récupérer de l'argent qu'on nous a emprunté?


La première question à se poser est: 

Qu'est ce qui fait que tu prêtes de l'argent quand on t'en demande?
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et toi, as-tu de la facilité à emprunter de l'argent?
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Si oui, que crois-tu par rapport au fait de prêter de l'argent? 

"C'est normal d'aider / c'est un devoir d'aider/ Je ne peux pas dire non/Quand on en a, il faut en donner"

Et si tu ne le faisais pas?  Qu'est ce que tu te dirais sur toi même? : 
"Je n'ai pas porté secours? J'ai été égoïste?"

Ce sont des croyances qui limitent ta liberté. 

Sache que lorsque "tu te fais violence" et que tu prêtes de l'argent sans en avoir l'envie réellement, tu manques à tes engagements de cohérence envers toi même. Non? 

Et, lorsque tu prêtes ton argent et que la personne ne te rembourse pas, qu'est ce que tu te dis sur toi même? 

- "J'ai été bête de lui prêter, je n'ose pas le lui demander, ..." et tu restes dans l'attente... 

La solution pour se libérer des croyances limitantes est de les transformer en croyances aidantes

Or, une personne qui manque à ses engagements... peux-tu la blâmer, puisqu'il t'arrive de faire la même chose entre toi et toi-même? 

Ce n'est pas pareil? Non? Voici ce que je te propose: 

Lorsque tu VEUX prêter de l'argent, considère le comme un acte d'amour et de générosité, bienveillant et spontané et non pas comme un devoir ou une requête que tu ne peux refuser et que tu es obligé de subir sous prétexte que tu ne peux pas dire non. Protège-toi !

Pour éviter de rester dans l'attente et de laisser ton personnage intérieur t'insulter et te blesser, apprends cette phrase: 


QUAND IL Y A ENTENTE, IL N'Y A PAS D'ATTENTES. 

Cette phrase veut dire, qu'en empruntant, il est important de s'entendre avec la personne sur les modalités de l'emprunt: 

"Je te prêtes 100 dinars, aujourd'hui, pour une durée de X, j'ai besoin de les récupérer à telle date xx/xx/2017. Est ce que tu es d'accord? Est-ce-que tu pourras honorer cet engagement sans que ce soit étouffant pour toi? Ok?"

Voici une entente, si la personne en face accepte, tes attentes débuteront à partir de la "due date".

Et tu pourras commencer ta phrase par : "On s'était mis d'accords que tu me rembourserai à cette date...."

La personne peut négocier un report et tu seras libre, la prochaine fois de faire acte de générosité ... ou pas?! Tu es libre et en cohérence avec toi-même!

Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com 

dimanche 8 janvier 2017

#Lifehack… A faire si on veut réussir


1-Apprendre de ses expériences
2- Trouver un équilibre personnel
3-Connaître son but et sa mission
4- travailler avec passion et motivation
5- Partager des informations, vouloir que les autres réussissent
6-Apprendre, s’améliorer tous les jours
7-Rester humble
8-Exprimer de la joie
Sur ce, l’important est de reconnaître sa part de responsabilité dans tout ce que l’on entreprend :) Bonne semaine et commencer par appliquer un seul de ces points quotidiennement et le reste suivra!
Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
www.wellcom-coaching.com (stratégie, coaching, formation en communication et en image) & Zhaïra Bennani-Coach Well'Com

jeudi 5 janvier 2017

#Lifehack… A éviter si on veut réussir


1-Choisir la facilité
2- Ce dire qu’on sait tout ce qu’il y a à savoir
3-Ne pas savoir ce qu’on veut être et/ou devenir
4- Critiquer les autres
5- Commencer un projet sans objectif et plan d’actions
6-Se comparer aux autres
7-Se laisser distraire
8-Avoir peur du changement
Sur ce, la clé de la réussite est dans l’intention de le vouloir et dans la croyance de le pouvoir et de le mériter… Voilà, c’est si simple !
Par: Zhaïra Bennani
Formatrice, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
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