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jeudi 17 décembre 2015

Eviter le burnout...



Burnout: Un état d’épuisement général, à la fois physique, émotionnel et mental; les «batteries sont vides»…

Certains l’ont expérimenté… plus d’une fois…

On peut s’auto-infliger un burnout en donnant beaucoup trop de notre personne pendant une durée (2-3 mois). 

A la fin de cette période,  le corps ne tient pas le coup: maladie, déprime, troubles alimentaires, du sommeil, nervosité, irritabilité, lassitude, difficulté à se lever,

Repérer les déclencheurs...

Avouez-le, par moment vous essayez de tout faire, vous voulez faire plaisir à tous?


Vous vous sentez assez capable, assez robuste pour tout faire…. ce que vous souhaitez faire, ce que les autres vous demandent de faire, ce qui vous est imposé par vos familles, vos emplois, la société dans laquelle vous vivez...


Savez-vous mettre des limites à ces parasites qui vous envahissent? Savez-vous dire non?


Vous dites « oui » malgré vous parfois?
ça vous donne une boule au ventre, vos mâchoires se serrent? Vos voix intérieures vous torturent?
Ecoutez-les? N’acceptez pas cette « petite » tâche de plus! 


Dire oui à une toute petite chose de plus et puis une autre…. et très vite nous sommes débordés.
Ecoutez vos voix intérieures quand elles vous disent STOP!, elles ont une fonction et une intention positive…parole de coach!

Pour éviter le burnout, vous devez faire des choix: céder à la pression ou vous écouter?

Pour vous écouter, vous pouvez apprendre à dire « Je ne suis pas en mesure de faire cette tâche maintenant », même si cela vous demande de vous faire violence et vous met dans une situation d’inconfort par rapport à vous-même ou par rapport aux autres.


Concentrez-vous sur votre ressenti, prenez 5 minutes de break, relisez votre to-do list…

Oui, oui la to-do-list, c’est aussi important pour les perfectionnistes que pour les personnes qui ont du mal à se fixer des limites.

En écrire une tous les jours, vous permet de tout sortir de votre tête et de l’écrire sur un bout de papier, l’organiser,  prioriser les tâches et de prendre le recul nécessaire pour estimer ce que vous pouvez faire et bien le faire.

Concentrez-vous sur une tâche à la fois. Et ne pensez à la prochaine que lorsque vous aurez terminé celle-ci.

Prenez soin de vous, prenez le temps de respirer, de réfléchir…pour pouvoir bien faire ce qui est de votre responsabilité.

Prendre soin de soi régulièrement,  est le meilleur moyen d’éviter le burnout.

Comment prendre soin de soi?

Physiquement: hygiène alimentaire, sport, bien être, santé, repos, sommeil

Mentalement: déconnecter, apprentissage, limites, reconnaissance et valorisation, objectifs, trouver du sens.

Emotionnellement: amis, couple, relations, …

…Qu'allez-vous choisir de faire en premier?




Par:Zhaïra Bennani, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®
 FB: WellComCoaching
 

 



samedi 5 décembre 2015

Bonjour, ‪#‎LifeHacks‬ de la semaine du 30-11-2015


#1
Se disputer dans les règles de l'art...
-Avant de commencer, identifiez les raisons de votre colère...
-Parlez d'un problème, en se tenant aux faits, à ce qui observable..
-Évitez les généralisations "toujours", "jamais",... il y a des exceptions vérifiables...
-Évitez d'accabler votre partenaire en émettant des jugements: "Tu as fais ça parce que...", "Tu as dis parce que...", "Je sais que tu penses que...."
-Pas de propos dégradants: parlez du problème pas de la personne... Les jugements ou insultes bloqueraient la communication...
En appliquant ces règles simples, il y a de grandes chances que cette dispute soit l'occasion d'avoir une "vraie" conversation qui satisfasse les 2 parties et qui peut se finir en câlins....
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#2
‪#‎QuiSontCesCouplesHeureux‬
-Ceux qui veulent vivre en couple mais qui tiennent encore plus à leur liberté
-Ceux qui s'engagent mais refusent d'être envahis
-Ceux qui disent à l'autre "Je t'aime mais je ne veux pas me perdre en toi"
-Ceux qui disent aussi "Je nous aime mais j'existe en dehors de "nous"
A bon entendeur, ...
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#3
Lorsque vous sentez que qq1 vous juge sévèrement ou injustement...
-Prenez du recul par rapport à cette personne histoire de relativiser. Passez du temps avec des personnes qui vous valorisent plutôt
-Ne cherchez surtout à pas être parfait aux yeux de cette personne ou aux yeux telle autre... c'est impossible de plaire à tout le monde
-Si le jugement devient destructeur pour vous, sachez reconnaître le bon moment pour s'éloigner de cette personne
-Évitez de le/la juger comme il/elle l'a fait, soyez celui/celle qui fera la différence
-Focalisez-vous sur ce qui va bien, ce qui vous élève en terme de croissance personnelle, de réussite et de bonheur...
Au final, no worries, tout le monde juge tout le monde...vous n'êtes pas une exception, ni une victime...
Sur ce, bonne journée...
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#4 ‪#‎PrinceCharmant‬
*Constats
-Choisir un partenaire c'est souvent basé sur le fait d'éprouver le sentiment que cette personne peut satisfaire nos besoins du moment M (affection, confiance en soi, compréhension, partage...). Nous sommes plus attirés par ce que cette personne peut nous procurer que par la personne elle-même.
-Être amoureux c'est dans le moment, car le sentiment que nous ressentons nous apporte un puissant bien être...nous sommes souvent amoureux du fait d'être amoureux...
*Questions à se poser pour maximiser vos chances de trouver la bonne personne...
-Vous connaissez-vous assez?
-Savez-vous identifier ce dont vous avez besoin?
-Quels sont vos critères de choix?
-Voyez-vous un schéma récurrent dans le choix de vos ex?
-En quoi votre comportement attire ce schéma?
-Êtes-vous conscient(e) de vos pensées et vos motivations lorsque vous êtes attiré(e) par quelqu'un?
-Cherchez-vous à satisfaire vos besoins, panser vos blessures, guérir du passé à travers l'autre?
-Y-a-t-il une partie de vous qui vous dit que vous n'êtes pas assez bien pour être aimé?
-Arrivez-vous à rester vous-même quand vous êtes en relation?
-Vous aimez vous suffisamment ?
-Pouvez-vous donner de l'amour à qq1, si vous ne vous en donnez pas assez?
... J'avoue, pas sympa ce ‪#‎LifeHack‬ ‪#‎3alSbe7‬ mais maintenant que vous l'avez lu, vous ne vous chercherez plus d'excuses
émoticône smile
Bonne journée !
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#5
Vouloir être heureux, c'est accepter finalement...
Accepter...
-Notre vie telle qu'elle est
-Notre personne telle qu'elle est
-Notre physique
-Notre santé
-Nos émotions
-Nos peurs, nos colères
-Nos réussites, nos apprentissages*
-Notre famille
-Notre situation financière
-Notre situation amoureuse
-Les autres tels qu'ils sont
-D'être incompris
-D'être différent
-De ne pas être le meilleur dans tout
-Qu'on puisse perdre ce qu'on possède
-Que personne n'est indispensable
Bref, qu'on n'a pas toujours ce qu'on veut, ou pas exactement ce qu'on veut, ou quand on veut ou avec qui on veut...
En 2 mots: Accepter que la vie n'est pas facile, pour accéder au bonheur...
* ("Echec" banni à jamais de mon langage...Je vous invite à faire de même)
Entretemps, ... bonne journée
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#6
Faire dépendre son bonheur d'éléments extérieurs?
(famille, boulot, argent, amis, loisirs...)
Oui... en même temps, c'est un bonheur éphémère qui peut disparaître dans le temps, avec le moindre changement dans ces éléments extérieurs (Rupture, Changement de boulot, perte d'argent, départ ou perte d'amis, peu de temps pour les loisirs...)
Surtout pour ceux qui pensent tout maîtriser dans leurs vies, y-a-t-il besoin de leur rappeler qu'ils ne maîtrisent pas les autres...
Le bonheur durable, c'est de pouvoir gérer ses émotions et rapidement retrouver une paix intérieure suite aux "changements incontrôlés" des éléments extérieurs...
A bon entendeur...
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Bon dimanche :) 
 
Zhaïra Bennani, Mastercoach en communication, Praticien PNL, Neuroactiv® Coaching, Communication non violente®




jeudi 3 décembre 2015

La réussite, la reconnaissance des autres et l'amour de soi


On pense que pour être regardé(e), pour se sentir important(e) on a besoin de montrer ses réussites... 
Nous attendons des autres qu'ils nous prouvent à quel point nous sommes géniaux!

Nous imitons sans réfléchir parfois ceux qui nous semblent avoir réussi, ceux qu'on admire. On essaie de reproduire ce qui est visible, ce qui est vérifiable par les autres.

Lorsque nous réussissons, nous éprouvons un sentiment de joie mais il reste tributaire de la réaction de autres pour s'exprimer pleinement. 

On reste dans l'attente, obsédé(e) par la valorisation de l'autre.

Finalement, est-on libre? A-t-on la possibilité de faire des choix?  D'être heureux même dans la solitude? 
Préférons-nous vivre dans la compétition: qui est le plus fort? Le plus riche? Le plus populaire? Le plus important?
 
Cherchons-nous à accumuler des possessions, comme un signe de grandeur?

Avez-vous remarqué que cela crée des conflits dans les relations?  En couple? Dans la famille? Avec votre équipe? Vos amis? et même entre les peuples sur Terre?

Mais finalement, vouloir être reconnu pour se sentir important, en d'autres termes c'est vouloir être aimé et apprécié des autres...

Et plus nous en faisons (physique, pouvoir, argent...) et plus nous nous croyons dignes d'être aimés.

Et quand plusieurs personnes se mettent à nous aimer, nous nous aimons nous-mêmes à travers leur regard admiratif, amoureux, et même parfois envieux...

Plus il y a de personnes qui nous aiment et nous admirent et plus nous avons le sentiment de nous aimer.

Les autres nourissent notre égo en nous renvoyant une belle image de nous-même.

En d'autres termes, se voir grand dans les yeux des autres pour oublier qu'on ne s'aime pas assez soi-même.

Ceci est le fruit de notre culture et de notre éducation, on ne nous apprend pas à écouter nos sentiments, ni à les reconnaître. Nos parents ne l'ont pas fait avec nous car leurs parents ne leur ont pas appris à le faire...

Pour changer cette façon de voir l'amour de soi, je vous propose, dans un premier temps de méditer là dessus: "C'est par la liberté de choix, que vous pouvez sentir en vous, votre grandeur."

Avoir le choix de ressentir de la joie, sans qu'elle dépende de la réaction de l'autre, avoir le choix d'être fièr(e) de soi sans attendre la validation dans le regard de l'autre. 

Pensez à ne pas juger l'autre, ni vous même, ni une situation car le jugement empêche votre esprit de faire des choix.

Avoir le choix d'être comme on est avec les autres est vraiment l'état de conscience à atteindre.

Vous pouvez avoir la liberté de continuer à obtenir qqchose des autres ou bien de faire en sorte que votre relation avec eux, à travers les sentiments ressentis mutuellement, vous apporte plus de grandeur. 

Lorsque que vous recevez de la joie ou que vous en donnez, voilà la vraie grandeur et le meilleur moyen de retrouver de la gratification et de la reconnaissance mais aussi de l'auto-satisfaction.

Lorsque vous et l'autre vous sentez bien dans votre relation, vous avez réussi, tous les deux, une union de deux êtres, qui donnent de la joie à l'un et à l'autre, et ceci est grandiose et vous avez réussi, vous pouvez être fièr(e) de vous !

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par: Zhaïra Bennani, MasterCoach en communication, Praticienne PNL, NeuroActiv® coach, thérapies brèves, Communication Non Violente®




























lundi 30 novembre 2015

Accepter son corps...




Certaines personnes se disent, « Il faut que je maigrisse pour accepter mon corps et m’aimer ».
Savez-vous qu’il existe souvent des explications psychologiques à ce surpoids?
(Hormis des facteurs hormonaux ou des problèmes de santé physique, ou d’hérédité, mais aussi les croyances héritées sur ce qu’est la nourriture)
Chaque corps est une carte différente, chaque corps a ses propres besoins.
Les régimes type peuvent marcher un temps, mais si les besoins psychologiques ne sont pas nourris… bonjour l’effet yoyo!
Chacun entretient une relation particulière avec la nourriture:
-manger pour vivre,
-manger juste pour survivre,
-manger pour se sentir exister,
-manger pour prendre du plaisir,
-manger pour compenser un manque affectif, de sécurité,
-se priver de manger pour se punir.. et bien d’autres…
En comprenant le sens de notre relation à la nourriture, et en comprenant les besoins qui nous animent, chacun pourra gérer son programme alimentaire et l’équilibrer par rapport à ses besoins physiques, physiologiques et psychologiques.
Posez-vous ces questions:
-Pourquoi voulez-vous mincir?
Pour plaire, pour se sentir bien, libre, pour prendre le contrôle, avoir le pouvoir, pour s’aimer,….?
Quel besoin profond la nourriture satisfait-elle?
Le bien être, la sécurité, l’intimité à soi, comble un vide, le sentiment de vous faire du bien, prendre du plaisir, le lâcher-prise, le partage, le pouvoir, le contrôle, l’humiliation, la culpabilité, la tristesse?
Souvent, il s’agit d’émotions refoulées, qu’on ne se s’autorise pas à ressentir qui créent en nous un comportement compulsif, car en n'acceptant pas de ressentir et d'accepter nos émotions, nous empêchons la vie circuler en nous.
Il n’y a pas de recette miracle, il est important de vous écouter, d’écouter votre corps et de le comprendre pour atteindre un set point (poids de forme). Ceci est faisable en s’aidant d’un coach, d’un diététicien, d’un livre… lorsqu'on pense qu'on a besoin de mincir pour s'aimer.
Le vrai déclic arrive lorsqu'on comprends que "s'aimer et aimer son corps est le meilleur moyen de maigrir"

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par: Zhaïra Bennani, MasterCoach en communication, Praticienne PNL, NeuroActiv® coach, thérapies brèves, Communication Non Violente®





En quoi un coach peut vous aider dans votre carrière?



Nous passons la plupart du temps au travail... à travailler.
Notre soi, nos passions, l'amour, l'amitié ne trouvent plus le temps de s'exprimer.
Imaginez donc, une personne qui n'aime pas son travail malgré toutes ces contraintes?
Se dire que la vie est courte, oui, c'est un peu philosophique, mais cela vous fait-il constater que la majorité du temps que vous passez au travail peut être sans saveur, sans motivation, sans vibrations intérieures ?
Qu'est ce qui vous empêche de changer les choses?
Le salaire? La stabilité? L'incertitude du futur? Le marché du travail?...
Vous préférez la tranquillité de maintenir le statut quo même si c'est dans la démotivation totale et la survie sans grandes ambitions?
Je comprends,... ce qu'on vous demande n'est pas de démissionner de votre entreprise sans avoir de plan B, mais de réfléchir à votre vie et d'instaurer des changements personnels qui vous permettront de vous sentir plus "vivant" et de retrouver une énergie créatrice à votre niveau et dans tout ce que vous entreprendrez.
"Je changerais de boulot quand j'aurais de l'énergie, ...., quand je trouverais un meilleur salaire, ..., quand l'avenir sera moins flippant,... quand je finirais de payer mes crédits,..."
Se parler de cette manière est le meilleur moyen de PROCRASTINER (laisser à demain)...et ceci vous bloque dans un cercle vicieux.
L'inconfort au travail peut vous conduire à des comportements compulsifs et même à une dépression.
Un petit changement, là où vous êtes, strictement pour VOUS, peut être un coup de boost à votre vie, à votre carrière...
C'est là qu'un coach peut intervenir, vous aider à choisir une nouvelle voie.... de réflexion, d'action, ...
Via un diagnostic de votre personnalité, vos compétences, vos talents, vos besoins, la situation, ainsi que les possibilités qui s'offrent à vous, ... vous pouvez dès demain vous lever du bon pied, retrouver votre motivation et commencer un nouveau chapitre. 

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par: Zhaïra Bennani, MasterCoach en communication, Praticienne PNL, NeuroActiv® coach, thérapies brèves, Communication Non Violente®



Ce que l'autre pense de nous

Ce que l'autre pense de nous a de l'importance car nous respectons (généralement) l'humanité qui est en nous.
Ces mêmes humains à qui nous accordons de l'intérêt sont parfois les plus durs et les plus injustes envers nous en nous jugeant.
Parfois ce sont des proches, des personnes qui créent en nous l'ambivalence d'avoir mal d'amour et mal d'être jugé à tort.
Il est important de s'éloigner de ces personnes là, de les priver de notre présence de notre amour pendant un temps. Cela nous permet de récupérer, de reprendre des forces, de reprendre confiance en soi. Surtout, cela nous permet d'analyser le jugement qu'on nous a adressé. Peut être, est-ce une critique constructive? Seul nous pouvons y répondre! et cette question est le meilleur remède au jugement. 
Nous pouvons chercher à comprendre ce qui l'a poussé à nous adresser ce jugement. Tout d'abord en se questionnant sur notre propre ressenti et puis dans un second temps, peut être, en le questionnant, lorsqu'on se sent prêt à le faire...
Penser savoir ce que l'autre à voulu dire fais de nous des "juges" au même titre que ceux qui nous ont blessé!
"Zapper" l'incident et continuer notre relation sans s'expliquer sera la première couche d'un "mille feuilles" dont la millième feuille nous explosera en pleine figure.
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L'équation serait :
Gérer son émotion négative = Observer les faits => S'écouter => Exprimer son besoin => Faire une demande à l'autre...
(Processus de Communication Non Violente®)


FB: WellComCoaching

par: Zhaïra Bennani, MasterCoach en communication, Praticienne PNL, NeuroActiv® coach, thérapies brèves, Communication Non Violente®








vendredi 16 octobre 2015

Il vous arrive de crier sur vos enfants?


Si nous en arrivons à crier sur nos enfants, c'est manifestement parce que nous n'arrivons pas à nous faire entendre par eux.

Quand vous criez, votre enfant perçoit votre cri comme une menace, un danger à venir. 

Son cerveau entre en état d'alerte et l'enfant réagit de 3 manières possibles:

il court s'enfermer dans une autre pièce,  
il est apeuré, s'arrête et regarde dans le vide, 
il répond et crie à son tour,  

Quelque soit sa réaction, l'enfant cherche à se protéger de se qu'on peut lui dire ou lui faire.

En criant nous leurs faisons peur et la peur est source de stress pour l'enfant. 

Par conséquent,  faire peur et stresser son enfant est dangereux pour son éducation. 

Le message que vous tentez de transmettre (arrête de faire ce que tu fais!, attention tu vas te faire mal!) va se perdre en cours de route et toute communication sera rompue.

Crier n'est pas un moyen de contrôler votre enfant, lorsque nous crions car nous perdons le contrôle d'une situation, nous n'arrivons pas à atteindre notre objectif.

Comment pouvez-vous demandez à votre enfant de se contrôler alors que vous-même en tant que parent avez du mal à y parvenir?

De notre culture, nous héritons de la croyance limitante selon laquelle les enfants ont besoin d'être mâtés, dressés, "yetrabba", ils sont jugés trop gâtés, agités, insupportable "heyej", "mdallel". 

Les enfants nous entendent le dire, les juger et même parfois les insulter. 

Quelles sont d'après vous, les conséquences que de tels actes peuvent avoir sur un enfant en pleine construction de sa personnalité?

Êtes-vous en mesure de penser qu'un enfant qui bouge, agit, s'agite, vous teste... est en train d'apprendre?

Si vous criez, lui inculquez vous une manière de communiquer respectueuse? Lui donnez-vous le bon exemple?

Êtes-vous capable en tant que parent de vous sortir d'une telle situation dans le calme et le respect? Cela donnerait-il un bon exemple à votre enfant?

Souhaitez-vous donner le bon exemple à votre enfant, le diriger, lui apprendre la vie?

Souhaitez-vous que votre enfant s'excuse d'un comportement qui vous stresse ou vous fait peur?

Alors que pensez-vous de vous excusez auprès de votre enfant d'avoir crié?

"Mon fils/ ma fille, je sais que j'ai crié et que je me suis emporté. Je sais que ce n'est pas agréable pour toi et ça ne me fait pas de bien à moi non plus. Je t'aime mon enfant et j'ai pris la décision de me contrôler et de ne plus crier. Il est important pour moi de m'occuper de toi et de te protéger, j'aimerais m'appliquer à le faire dans le calme. Mon enfant, cela me prendra peut être du temps  pour me maîtriser à 100%, préviens moi quand tu sens que je pourrais crier ou te faire peur. Je veux te protéger et non te faire peur. Et s'il m'arrive de crier, je le reconnaîtrai et m'en excuserai."


Si vous le souhaitez, nous pouvons vous accompagner à améliorer votre communication en famille... You'Re Well'Com... Venez comme vous êtes!

FB: WellComCoaching




par: Zhaïra Bennani, MasterCoach, Praticienne PNL, NeuroActiv® et thérapies brèves 














jeudi 15 octobre 2015

Exercice: profiter pleinement de ce qui est bon pour soi !


Quelles sont les qualités profondes que j’aime en moi ?
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1)
2)
3)
4)

Pour chacune, 

- Explorer quelle émotion accompagne le fait de vous reconnaître cette qualité. Nommez cette émotion.

- Où cette émotion se manifeste-t-elle dans votre corps?

- Quelles pensées accompagnent cette émotion?

- Quelle attitude accompagne cette émotion?

Pendant une semaine, repérez chaque jour  les éléments positifs qui découlent de cette qualité que vous avez en vous. Notez-les.

Ré-explorez votre ressenti, comme précédemment, (Émotion, attitude, pensées)

Détendez vous, laissez ce bien être s'amplifier à chaque inspiration.

Et aussi, 

Repérez les pensées ou petites voix intérieures qui vous empêchent de profiter de cette qualité. 

("J'ai de plus gros défauts", "Cette qualité n'est pas si utile", "Je ne sais pas l'utiliser, l'optimiser"...)

Sachez que ces petites voix qui semblent avoir une influence négative sur vous et vous découragent, ont une fonction positive et oeuvrent pour votre bien. 

Vous n'en n'êtes pas convaincu ? Contactez-nous, nous vous réconcilierons avec vos petites voix intérieures.

You're Well'Com... Venez comme vous êtes!

par: Zhaïra Bennani, MasterCoach, Praticienne PNL, NeuroActiv® et thérapies brèves 


 

Que faisons pour que notre couple dure?



Tous les jours nous vivons notre routine et laissons notre vie se dérouler. 

  • Qui et combien d'entre nous se posent des questions sur la durabilité de leur relation?

  •  En quoi agissons nous pour que notre couple dure?

  • Que ne faisons nous pas et qui pourrait améliorer la qualité de notre relation? 

  • Notre relation d'aujourd'hui est-elle synonyme de bonheur? Souhaitons qu'elle dure ainsi?



  • Ressemble-t-elle à nos attentes? Que pourrions-nous faire pour la faire durer?

Aujourd'hui, dans notre société actuelle, les relations sont des successions d'instants et non une continuité. 
Les personnes passent un moment ensemble, peuvent définir leur relation et lui coller l'étiquette "en couple" ou encore, s'arrêter là. 

Elles peuvent se marier ou se séparer après une période en couple, elles peuvent consolider leur union en ayant des enfants ou divorcer.

Et parfois même, divorcer avec des enfants déjà nés et repartir vers de nouvelles unions, dans des familles recomposées 

ou une nouvelle vie sans engagement sentimental, focalisée sur d'autres domaines de vie mais seul, et avec des bleus à l'âme.

Ajoutons à ces éventualités, les personnes qui travaillent beaucoup au cours d'une journée, qu'elles passent plus de temps avec des collègues de sexe opposé qu'avec leur conjoint et investissent plus de temps et d'énergie dans leurs relations avec les collègues, que celles ci peuvent aboutir à une plus grande complicité qu'avec le conjoint.

Notre société actuelle voit se développer de plus en plus de relations sans engagement, qu'elles soient une relation non étiquetée "en couple", sous forme d'amitié améliorée ou encore, des relations extra-conjugales épanouissantes car sans engagement, mais combien de temps de telles relations peuvent-elles durer et être épanouissantes et ressourçantes?

Qu'est ce qui fait que de nos jours, nous choisissons de tels modes de vie sans attaches?  Qu'est ce qui fait cette peur de l'engagement qui pourrait nous garantir une relation plus complète et plus durable?

D'après mon expérience dans le coaching des couples, j'ai pu tirer des conclusions basées sur l'observation: l'illusion,  sur laquelle un couple débute pensant que les sentiments durent toujours avec la même intensité et la même ferveur sans avoir à s'y impliquer ou à y travailler.

Or, ces même personnes remarquent qu'au fil des années vécues ensemble, les sentiments envers son conjoint évoluent et semblent s'user.

On peut, de ce fait penser,  ne  plus aimer  son partenaire alors pourquoi rester fidèle ou pourquoi rester tout court?

Les sentiments peuvent être mis de côté dans certains domaines de vie par exemple, au travail
 Et la routine peut prendre le dessus, avec tout le lot de fatigue et de parasitage qu'elle apporte. Nous usons de l'énergie, du temps, notre motivation en ne séparant pas les différents domaines et en n'organisant pas nos priorités. 

Quand le couple n'est plus une priorité, quand nous nous laissons prendre dans le tourbillon de la vie et que nous oublions d'accorder à chaque chose, l'énergie et le temps nécessaires, certaines choses perdent de leurs valeurs, comme le couple lorsqu'il n'est pas entretenu. 

Si vous êtes à ce stade dans votre vie de couple, faites une pause et posez-vous les questions énoncées au début.

Et si jamais vous avez besoin d'être accompagné pour faire le bilan de votre relation, You're Well'Com... Venez comme vous êtes!


par: Zhaïra Bennani, MasterCoach, Praticienne PNL, NeuroActiv® et thérapies brèves 
 

 Retrouvez-moi sur FB: WellComCoaching
 

mardi 13 octobre 2015

Désarmorcer un conflit dans le couple par la communication


Voici quelques techniques pour résoudre un conflit entre deux partenaires:

- Ecouter activement
Parfois, lors d’une discussion nous sommes concentrés sur l’idée de donner notre avis et le faire accepter en argumentant.
Pendant ce temps, nous n’écoutons pas vraiment les propos de l’autre. Pour être sûr de le comprendre, reprenez ce qu’il vient de dire avec vos propres mots: « Donc, ce que tu veux dire c’est… »
jusqu’à obtenir la validation de votre partenaire sur votre compréhension. Ensuite, donnez votre opinion, votre vision sur la question. Votre partenaire devrais choisir de faire la même chose
car cette technique permet de se sentir écouté et compris même lorsque nous ne sommes pas du même avis.

- Commencez vos phrases par « je »
Lorsque vous souhaitez parler d’un problème, commencez vos phrases « je » et exprimez ce que vous ressentez.
Exemple: Evitez « tu me caches des choses » ou « tu ne me dis jamais rien ». Cela mettra votre partenaire sur la défensive, il cherchera à se justifier, se défendre et peut finir par se
fermer et rendre la discussion infructueuse.
Dites plutôt: « ça m’a blessé de savoir que JE n’étais pas au courant » Cela démontre à votre partenaire que vous prenez la responsabilité de ce que vous ressentez plutôt que de le
blâmer.

- Se concentrer sur le problème et non sur la personne
Il est important de se concentrer sur la discussion sans blâmer son partenaire. Si la discussion devient personnelle et dégénère en règlement de compte, en insultes, cynisme, moqueries à l’encontre des personnes, il est préférable d’arrêter la discussion car elle
serait improductive.

- Savoir arrêter la discussion
Quand celle ci dégénère en agressivité et en insultes, inutile de continuer. Faites autre chose, ensemble ou séparément pour prendre un break, le temps que les esprits se calment. Choisissez de faire quelque chose qui vous relaxe ou vous fait plaisir. Quand vous
vous sentez suffisamment calme, reprenez la discussion et tenez compte de ses règles de gestion de conflit. Il est important de revenir pour désamorcer le conflit, car vous pouvez
laissez des problèmes irrésolus et des mots inexpliqués qui peuvent laisser des ressentiments plus graves.

- Pensez à être « orienté solution » dans votre démarche de gestion du conflit
Les désaccords font partie intégrante de la vie d’un couple. Quand il devient difficile de trouver un accord qui conviennent aux deux parties, cherchez un conflit qui atténue la tension. Et surtout, posez-vous, tous les deux la question si ce conflit mérite d’altérer votre relation. Continuez d’avancer en regardant dans la direction que vous avez décidé tous les
deux pour votre couple.



par: Zhaïra Bennani, MasterCoach, Praticienne PNL, NeuroActiv® et thérapies brèves 
 FB: WellComCoaching

samedi 10 octobre 2015

Communication au sein de la famille


Vivre ensemble ce n'est pas tous les jours facile.  Nous devons gérer ensemble un nombre de tâches qui peuvent donner lieu à des conflits (les tâches ménagères, le budget, les avis différents, les décisions à prendre ensemble...). Pour cela, une bonne communication peut limiter les dégâts et permettre à chacun de s'épanouir.

De nos jours, le manque de communication est causé par la perte de sens des valeurs. 

Aujourd'hui, nous sommes plus focalisés sur le matériel, la réussite (chiffrée: notes, nombre de diplômes, salaire, nombre de salariés...) et ce sont les "valeurs" qui motivent la plupart des gens. 

La sphère familiale en est affectée, les deux parents travaillent et ont très peu de temps à accorder à leurs enfants, les enfants s'isolent sur leurs tablettes et ordinateur quand ils ont un temps de libre. La situation est vraiment alarmante!

Les conversations face-à-face ont presque disparu pour laisser la place à la télévision, l’ordinateur, les jeux vidéo et les textos, le Smartphone, la tablette et l’Internet. Il est plus facile d'envoyer un message à un ami qui vit à des milliers de kilomètres directement du canapé que de se lever pour aller parler à sa mère dans sa chambre.

Ce manque de communication peut vite dégénérer en conflits et malentendus.

Il est important d'intégrer que Communiquer = Parler + Écouter activement

Les couples en souffrent beaucoup :divorces,  infidélités,  crimes passionnels,... sont les résultats de l’absence de communication entre partenaires. Pour le couple, le langage verbal, les regards et aussi le langage du corps (l'intimité, la sexualité) sont complémentaires pour livrer ses pensées à l'autre et le rassurer.  Le silence crée de la distance et s 'il est mal interprété, il peut tuer le couple en créant un sentiment de frustration et d'incompréhension entre les conjoints.

Les conjoints pourront chercher à être écoutés et compris en dehors du couple.

Souvent, nous voyons que les hommes ont des difficultés à accepter que leur femme soit autonome et qu’elle travaille. Cette situation est souvent le résultat d’une mauvaise communication entre mari et femme et peut, dans certains cas, donner lieu à de l'incompréhension, des conflits, voire même escalader en violence.

Il est important que les conjoints partagent des moments intimes, prennent le temps pour parler de leur intimité, se couper de la routine familiale pour partager leurs sentiments, leurs soucis ainsi que leurs désirs.

Pour les parents, il faut apprendre à se partager des choses qui concernent notre couple. De parler en tant que mari et femme avant tout, et non en tant que papa et maman.

Les nouvelles générations ne savent pas retrouver leurs parents autour d'une table pour se raconter leur journée et parler de ses problèmes ou de ses petites réussite du quotidien.

Ces moments permettent aux différentes membres de la famille de mieux se connaître, se comprendre, s'aimer.

Parfois, les parents rentrent tard, ne cuisinent plus, ne dînent plus... perdent patience quand les plus petits font des caprices pour dîner. La réunion à table devient vite insupportable et on préfère fuir et se réfugier derrière un écran..
De jour en jour, il y a un fossé qui s’agrandit entre les parents et les enfants.

Les jeunes se sentent incompris, alors que les parents sont dépassés.

Les adultes savent-ils encore reconnaître les besoins des enfants?

Appliquent ils leur modèle d'éducation tel qu'ils l'ont appris en faisant une fixation sur leur propre enfance?

Ou cherchent ils à s’adapter selon l'évolution des mentalités?

Nos enfants ont d'autres manières de penser, de communiquer.

Il est normal d'avoir des divergences d'opinion et des conflits, mais ceux-ci ne doivent pas faire disparaître la communication.

Le système éducatif peut aider à entretenir la communication au sein de la famille en insistant sur son importance.

Une bonne communication au sein de la famille renforce les liens. Toutefois, il faut savoir bien communiquer, que ce soit avec ses enfants ou son conjoint.

On ne doit pas se contenter de partager des informations ou d’avoir des conversations factuelles. Il est important  qu’on apprenne à partager ses sentiments et qu’on prenne le temps d’être à l’écoute de l’autre.

 Le partage des sentiments au sein de la famille se passe essentiellement par la communication. Toutefois, il faut savoir la maîtriser .

Il est important de passer des moments en famille pendant lesquels chaque membre sera appelé à parler de ses sentiments et de nommer ses émotions.

Il est important de prendre régulièrement des repas en famille. Par exemple, le moment du dîner reste un moment important au quotidien. Un moment qui permettra aux membres de la famille de partager leur journée.

Il faut savoir être à l'écoute quand quelqu’un nous parle. Si nous démontrons de l’intérêt pour notre interlocuteur, ce dernier se sentira à l’aise pour partager ses sentiments. Par ailleurs, si pendant qu'il parle, on a les yeux rivés sur son téléphone ou sur la télé, rapidement, il se sentira ignoré et s'arrêtera de parler.

Le chef de famille (père ou mère) est garant et responsable de la bonne communication au sein de la famille, il doit donner l'exemple en matière de communication et éviter tout esprit de compétition (par exemple, entre les enfants).

Pour que nos besoins d'appartenance soient satisfaits, nous devons partager des centres d'intérêts et des valeurs communes, notamment la valeur Famille. Celle ci permet de resserrer les liens, car cette notion est importante et partagée par tous.

Le manque de communication a une répercussion sur chaque membre de la famille.Un enfant qui n'est pas à l'aise pour parler à ses parents car il ne se sent pas écouté ou compris aura du mal à exprimer ses sentiments ou décrire ses émotions et apprendre à les nommer et à les comprendre. Il se détournera de ses parents et ira parler avec d'autres personnes qui lui donneront le sentiment de l'écouter.

Posted by: Zhaïra Bennani, MasterCoach et praticienne PNL et Thérapies Brèves


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